Sous le volcan se boit la brume de l’errance
Et le chacal hurle à d’autres meutes sa solitude édentée.
Il rive son cou aux déportations de la nuit,
Là où
Les hirondelles déjouent le vol des anxiétés.
Tu pleures
Car tu sais ou crois savoir
Autour de l’abreuvoir les gazelles du songe
Viennent laper la cendre des passions.
Mais la braise s’est cachée
Elle attend son heure.
Un enfant maudit appuie ses mains de sang
Sur le rocher des désespoirs