Ce couloir aux chromes éblouissants où le derviche des signes projette sa vision
Ce cercle si mobile qui métamorphose ta langue, ces récits délivrés où se meuvent les facettes coupures de nos hallucinations. Cette torsion inaudible qui ensemence les vagues et le voilier insaisissable de la mort
Il pleut de l’acide dans l’âme des sirènes. Sans doute ont-elles oublié le rythme, gommé cette partition fébrile où échouèrent nos élans.
Cyclone,vient t’enrouler dans l’exigence du tourbillon, dans le tourment des exils